lundi 12 décembre 2016

celui qui a les moustaches était le plus méchant...

Merci Jacques pour organisation de ce studio!
Merci à tous les participants et à Mr musicien
Publié par MIST à 23:55:00
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5 commentaires:

  1. Jacques13 décembre 2016 à 01:07

    La moitié de gauche du cliché est bonne, pour l'autre moitié, le photographe n'a visiblement pas su mettre en valeur le modèle, dommage ;-)

    Faites le bilan du temps que vous avez passé à regarder CHAQUE prise de vue sur votre écran de contrôle au lieu de parler et diriger le modèle, vous trouverez la cause de cette tronche agacée ! Qui a parlé au musicien pendant le shooting ? Le modèle n'est pas une nature morte !

    Il est où le temps de l'argentique où, le temps du shooting, on dialoguait forcément avec le modèle plutôt qu'avec son écran de contrôle (ratant ainsi immanquablement l'instant décisif) ?

    Règle générale de prise de vue de studio : on vérifie au début du shooting le rendu des éclairages, expo, bdb, pdc et plan de netteté, mais après, tant que les conditions d'éclairage ne changent pas, c'est uniquement une relation photographe/modèle... pas photographe/appareil !

    Ceci dit, je pense que chacun a pu s'exercer et je suis sûr qu'il y aura de bons clichés de Sydney Drouot.

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  2. JPHIM13 décembre 2016 à 20:57

    tout à fait d'accord, mais le dialogue avec le modèle, cela s'apprend aussi ! et pas toujours évident de diriger quelqu'un. merci pour ton organisation et tes conseils.

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    1. Jacques14 décembre 2016 à 09:09

      Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile de se sortir du douillet refuge de la technique en photographie de studio (et en général) pour se consacrer pleinement à l'humain mais, comme tu le soulignes, il faut absolument passer ce cap si l'on veut capter et transmettre des émotions.
      On a peut être aussi trop tendance à considérer le modèle comme un simple "objet à photographier" et pas assez comme un être humain capable d'exprimer des émotions, de réagir aux sollicitations du photographe dans un vrai dialogue.
      Pour ça il faut briser la glace et se faire violence pour établir le contact mais on entre là dans les méandres de la psycho ;-)

      Je regrette justement qu'on ne prenne pas le temps (ou qu'on n'a pas le temps) de discuter de ça en fin de séance à chaud, c'est ça l'utilité du debriefing gage de progrès et de correction de tir.

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    2. Cécile14 décembre 2016 à 09:23

      à propos des fins de séance, ne serait-il pas possible de commencer et terminer un peu plus tôt ?... Pardon de relancer le débat ici, mais quand on se lève tôt le lendemain et qu'on se fait une (très) grosse journée, il faut penser à dormir un peu !

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    3. Jacques14 décembre 2016 à 12:58

      A débattre jeudi.

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