On espère toujours que de tels lieux ne reverront jamais le jour...
Mais la folie de l'homme est toujours présente...
On ne distingue peut-être pas, mais j'ai volontairement laissé une petite fille assise sur un rail, juste devant la sortie, (alors que j'ai ôté beaucoup d'autres touristes) pour dire que la vie sera toujours plus forte que le fanatisme cruel et destructeur.
Wahou... C'est violent de passer de la belle Eléa au camp Auschwitz. Je suis allée sur ces lieux en plein hiver fin janvier à la date anniversaire de la libération du camp, ambiance frissons !
RépondreSupprimerBon, je retourne au studio.
Mériterait un noir et noir bien sinistre !
RépondreSupprimerIl ne faut jamais oublier cette période bien triste.
RépondreSupprimerOui d'accord avec Jacques.
La perspective avec les rails est bien vu. Un cadrage en 16/9 augmenterai encore la force de l’image je pense.