La désertitude du lieu à cette heure tardive est bien rendue. En première lecture on voit de suite le personnage qui revient peut-être de soirée tard dans la nuit, en deuxième lecture l’œil est attiré et intrigué par ce flou de premier plan qui occupe presque la moitié de l'image, ce qui est donc voulu par l'auteur. Peut-être a-t-il été intéressé par l'aspect graphique de ce bokeh mais cela sert-il à l'image et au sujet qui semble être malgré tout ce personnage ? Ne faudrait-il pas mieux réduire le volume de ce bokeh pour qu'il n'entre pas en concurrence avec le sujet ? D'autre avis ?
Oui je suis du même avis : si le sujet principal est le personnage déambulant, réduire le bokeh à un tiers par ex. serait bien Par contre si le sujet est le bokeh lui-même, le partage 50/50 est judicieux Un 31 décembre au petit matin on a effectivement l'impression parfois de marcher sur l'eau
Laura Béthencourt : Communication Jean-Bernard Pachet : Finances Jérôme Blanchard : Expositions Henri Moindrot : Oésiades et contact extérieur François Daneau : Informatique et RGPD Sylvie Renault : Secrétariat et suppléante Finances
... ou c'est quand on a trop picolé !
RépondreSupprimerLa désertitude du lieu à cette heure tardive est bien rendue.
RépondreSupprimerEn première lecture on voit de suite le personnage qui revient peut-être de soirée tard dans la nuit, en deuxième lecture l’œil est attiré et intrigué par ce flou de premier plan qui occupe presque la moitié de l'image, ce qui est donc voulu par l'auteur.
Peut-être a-t-il été intéressé par l'aspect graphique de ce bokeh mais cela sert-il à l'image et au sujet qui semble être malgré tout ce personnage ?
Ne faudrait-il pas mieux réduire le volume de ce bokeh pour qu'il n'entre pas en concurrence avec le sujet ?
D'autre avis ?
Oui je suis du même avis : si le sujet principal est le personnage déambulant, réduire le bokeh à un tiers par ex. serait bien
RépondreSupprimerPar contre si le sujet est le bokeh lui-même, le partage 50/50 est judicieux
Un 31 décembre au petit matin on a effectivement l'impression parfois de marcher sur l'eau