Un vaisseau intergalactique en pleine dérive dans l'espace noir interstellaire. Seul le petit reflet ramène les pieds sur Terre. L'image est très bien exposée, la mesure ne semble pas avoir été affectée par tout ce volume noir qui génère habituellement le "cramage" des zones claires par sur-exposition erronée.
C'est vrai que les toiles d'Edward Hopper ressemblent à de la photographie mais j'ai de la difficulté à retrouver son esprit ici. Peut-être l'ambiance énigmatique et mélancolique de la scène sans aucun personnage ? Bon, l'important est de titiller l'imagination et de faire se revisiter l’œuvre de l'Edward pour trouver la relation et là c'est réussi.
Laura Béthencourt : Communication Jean-Bernard Pachet : Finances Jérôme Blanchard : Expositions Henri Moindrot : Oésiades et contact extérieur François Daneau : Informatique et RGPD Sylvie Renault : Secrétariat et suppléante Finances
Un vaisseau intergalactique en pleine dérive dans l'espace noir interstellaire. Seul le petit reflet ramène les pieds sur Terre.
RépondreSupprimerL'image est très bien exposée, la mesure ne semble pas avoir été affectée par tout ce volume noir qui génère habituellement le "cramage" des zones claires par sur-exposition erronée.
C'est vrai que les toiles d'Edward Hopper ressemblent à de la photographie mais j'ai de la difficulté à retrouver son esprit ici.
RépondreSupprimerPeut-être l'ambiance énigmatique et mélancolique de la scène sans aucun personnage ?
Bon, l'important est de titiller l'imagination et de faire se revisiter l’œuvre de l'Edward pour trouver la relation et là c'est réussi.
"Noir c'est noir" mais il y a de l'espoir( Hope à défaut de Hopper) dans cette photo, l'espoir d'une nouvelle année "comme avant"....
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