jeudi 6 août 2020

t'as le style ou pas ;)


La stachmou qui change tout ;) à Chastreix-Sancy

8 commentaires:

  1. On ne se lassera jamais de faire de belles rencontres en montagne (ou ailleurs).
    Bien vu.
    A combien de mètres étais tu de la marmotte ?

    RépondreSupprimer
  2. Assez loin (50 m au moins pour celle-ci de mémoire)car dans le Puy de Dôme elles sont beaucoup plus farouches que dans les Alpes ! 1) Il faut les repérer de loin (elles ne sifflent pas tjs en te repérant). 2)stopper net sa marche, s'allonger et commencer approche en mode rampage et contournement par le haut (si tu arrives par en bas par rapport à elles tu n'as aucune chance). J'ai ici un simple 100-400, mais de bonne qualité puisque c'est la série L de chez Canon. En le posant sur une pierre ou autre chose pour assurer ta stab, il y a moyen de faire de bonnes choses si tu ne te fais pas repérer !

    RépondreSupprimer
  3. Alors bravo parce que à 50 m c pas évident d'avoir le sujet net (t'as pas tremblé)
    400 mm c déja pas mal du tout pour télé
    C'est plus facile de photographier un bouquetin ou un chamois à la montagne qu'une marmotte (je sais de quoi je parle)

    RépondreSupprimer
  4. Pour avoir eu à photographier les 3 (bouquetin, chamois et marmotte depuis peu), je ne partage pas tout à fait ton avis ;) Je t'avouerais qu'elles ont été plus que coopératives. En effet, si tu ne bouges pas, que tu progresses vraiment doucement en restant au ras du sol elles te laisse approcher quand même pas mal : le tout est vraiment d'être au dessus d'elle et non dessous. Parfois je reste sans bouger au moins 5 mn et puis je vois ce que je peux faire et je continue mon approche tranquilou et tu sens si l'animal va te laisser faire ou pas. J'ai fait aussi du bouquetin sur la même sortie et je n'ai pas approcher autant qu'en juin 2019... L'été c'est vraiment plus chaud pour approcher : trop de touriste et de bruit... je te mets en exemple un autre cliché de marmotte ou je devais être à 10m à peine même journée. Avec elle je n'ai pas bougé de mon poste pendant au moins 20 mn et on se regardait : elle savait que j'étais là mais a du se dire que je n'étais pas un danger ;)

    RépondreSupprimer
  5. Elle va bientôt se mettre un percing dans le museau !
    Son mimétisme naturel joue bien son rôle protecteur des prédateurs mais ce n'est pas favorable pour le photographe.
    On a du mal à distinguer rapidement la grosse mémère grise dans les rochers gris.
    En utilisant une plus grande ouverture de diaph, la zone nette se concentrerait peut-être plus sur la marmotte et rendrait flou avant-plan et arrière-plan. sinon il faut passer par une retouche localisée.
    On pourrait également augmenter le tonus de l'image en accentuant le contraste quitte à écrêter un peu les blancs.

    RépondreSupprimer
  6. c'est vrai que diminuer la pdc est un truc que je n'ose pas faire quand je shoote un sujet qui est loin... Récupérer cela proprement en post traitement n'est pas des plus aisé, car il faut savoir flouter subtilement en plusieurs plans, par étapes : ce que je maîtrise mal. Je me suis contentée ici de sélectionner la marmotte pour lui remettre un peu de contraste et de légèrement trafiquer l'oeil. Sans doute pas suffisant pour la sortir de son environnement.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est vrai que si elle se voyait comme le nez sur la figure, elle ne serait sans doute plus là depuis longtemps car bouffée par un rapace ;-)

      Supprimer
    2. Plusieurs outils existent pour réaliser une simulation de pdc réduite, soit dans Ps ou dans Cr.
      Le moyen le plus « rustique » est d’utiliser le filtre gradué linéaire de Cr en jouant sur les curseurs netteté et un peu clarté.

      Supprimer